Cancer : des risques différents en fonction des catégories sociales
7 février 2017 22:09, par guili guili
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Toutes ces recherches inutiles... à quoi ça sert de connaître la localisation des cancers alors que la cause unique, première, est de nature nutritionnelle ?
La prolifération cellulaire est un phénomène normal dans le processus de réparation déclenché face à une agression subie par le corps. Si cette prolifération s’emballe (c’est le cancer), le corps dispose de deux mécanismes naturels pour la stopper, l’un endogène, l’autre exogène. Le premier passe par les enzymes pancréatiques trypsine et chymotrypsine. La cellule cancéreuse porte une enveloppe dotée d’une charge électrostatique négative. Comme les globules blancs (dont le rôle est de détruire tout intrus dans le corps) sont également dotés d’une charge électrostatique négative, la cellule cancéreuse est protégée de l’action des lymphocytes (deux charges négatives se repoussant, comme chacun sait). Or, la trypsine et la chymotrypsine ont la faculté de détruire l’enveloppe électrostatique de la cellule cancéreuse, laissant alors cette cellule vulnérable à l’action des globules blancs. Le problème, c’est que l’alimentation moderne comporte des aliments qui « consomment » de grandes quantités de trypsine et chymotrypsine pour leur digestion, ne laissant pas assez de ces enzymes dans le flux sanguin pour qu’elles suffisent à éliminer les cellules cancéreuses. Lorsque ce premier mécanisme (enzymatique) échoue, le corps possède une deuxième « ligne de défense » contre la prolifération cellulaire cancéreuse. C’est là qu’intervient l’amygdaline, ou vitamine B17.