Dealers de femmes : le proxénétisme dans les cités, nouvelle activité florissante
4 février 2017 10:22, par rebonditude
La plupart des djeunes ont déjà suffisamment de mal à baiser pour eux même que faire baiser les autres ne doit concerner qu’une petite minorité. S’ajoute à ça que pas toute les prostituées ne se sentent ou son obligées d’entretenir un souteneur. Le cas le plus fréquent devant relever de l’échange drogue contre passes.