Olivier Delamarche : "Les gens en ont marre qu’on les prenne pour des cons !"
4 janvier 2017 11:00, par anonyme
Comme à l’habitude, le décalage entre une ’analyse’ socio-économique d’OD, et une analyse économique pure, avec ce que cela soulève d’échanges antagonistes. Le vulgum pecus n’existe sur le plan économique que comme ’acheteur’ potentiel, avec les fluctuations économiques liées à sa situation (simplement il ’achète’ plus ou moins). Des fluctuations sur lesquelles spéculent les bourses afin de tirer des revenus des écarts entre ventes et achats. Les bourses ne labourent, ne sèment, ni ne moissonnent, elles achètent et vendent du papier, depuis une autre dimension du monde des hommes. Un endroit où elles tirent à elles le réel, le monétisent, et encaissent les écarts. Il en sera ainsi jusqu’au moment où on choisira le watt comme étalon de valeur.