Très bon article du Huff Post, qui va contre son idéologie,en temoigne la réaction hystérique.
La gauchisation de l´EN a vraiment commencé en 1981 et Mitterrand. On se souviendra de l´immonde Pause-Café, série de TF1 où l´élève venait tuer son mal-être à l´aune des années 1980. Véronique Jeannot, CPE, cinglé gauchiste, prenait le jeune sous son aile, gueulait auprès du salaud de proviseur, on ne voyait jamais l´élève travailler. Ca faisait marrer à l´époque, c´était gentillet, un élève de 5è avait un niveau plus élevé qu´un bachelier 2016, ca filait droit les bacs généraux, encore, les salaires étaient décents, le prof respecté, l´école sanctifiée.
Le ver était planté : 30 ans plus tard, l´ídéologie anglo-saxonne a vaincu. On fait de la garderie pour le peuple, quand les riches pourront payer des études de médecins ou d´avocats. Les sur-doués pauvres finirpnt en BEP chaudronnerie.
Et surtout on apprend lus rien, on fait du droit de l´hommiste anglo-saxon, la tolérance, la différence, la culpabilisation de la société souche. Et il ne faut RIEN attendre de l´immense majorité des profs, attendant salaire et vacances ; ou soumis à l´edéologie gauchiste, du monde il est dur, il faut comprendre l´élève.
L´élève est au centre du système, dit le premier commandement de ce truc. Le prof sera donc à la périphérie, féminisé, accompagnant l´apprentissage de la théorie du genre, et des droits de l´homme.
Regardez les programmes des pays anglo-saxons dégénérés, ou des films sur l´école des mêmes pays. C´est l´objectifs pour la France, il manque encore quelques années.
Tout semble foutu, mais il reste des ilôts de résistance, comme Civitas, le grain de sable qui peut faire dérailler le projet, comme le souligne Pierre Hillard ?