À quand la lutte contre Jahbat-Al-Nosra, Jaish-Al-Islam, Arhar-Al-Sham, etc. ? Peut-être qu’avant la prochaine décennie, certains dirigeants français ou américains s’en rendront compte, qui-sais ? Mais bon, il reste peu d’espoir, quand on a à l’esprit le fait que chaque pays soutient "ses" milices mercenaires favorites, qu’elles soient locales ou régionales. Quand elles portent le label "démocrates" et qu’elles ont été adoubées par certaines capitales occidentales ou arabes, c’est encore mieux : on peut les soutenir officiellement, et presque sans réserve. On a cependant quelques remords quand une attaque frappe directement le sol européen ou américain, on pleure quelques semaines, on promet un renforcement de la sécurité, puis on rejoue un tour. Dans ce nouveau jeu de carnage international, il n’y aura pas de place pour les perdants ou les hésitants.