Le déroulé des opérations a été une arnaque depuis le départ. En jouant sur Combrexelle, puis sur le conseil d’Etat, puis sur l’état d’urgence, et enfin sur la caution morale d’une personnalité sensée irréprochablee, Valls et sa bande de falsificateurs, ont tenté un coup de poker menteur, et ont perdu. Il convient de démontrer aux sénateurs que ni les salariés, ni les petits patrons ne veulent de cet arrangement entre transnationales, syndicats responsables et socialisme à la française version Hollande.