Houellebecq et Soumission triomphent sur les planches allemandes
9 mars 2016 18:34, par listener
Si avec cela les allemands (et tous les européens) peuvent se débarrasser de la détestable tradition brechtienne et de son fameux "malaise" !
Le théâtre peut tout souffrir, pleurs, rire, atrocités, pensées vicieuses, visions sanguinaires (Shakespeare) sauf une chose : le malaise. Pas de malaise !
L’abominable Brecht, qui avait lui-même un sacré talent d’ailleurs, a introduit dans le théâtre (et dans l’art en général peut-être) un virus mortel pour l’art dramatique ; le malaise. On est au théâtre donc on est d’affreux bourgeois et on doit se repentir. Il suffit de constater l’état du théâtre et du cinéma aujourd’hui. A vomir.