En fait, le pouvoir socialiste exploite une faille du droit qui est vieille comme le monde. Le droit est obligé de muter et de changer de registre lorsque la guerre arrive. C’est bien connu. "Hannibal ad portas". "Caveant consules.."Cincinnatus" etc.. On ne rigole plus, mais plus du tout. On chie dans son froc et on a pas le temps et le désir de manifester place de la république pour agiter des "Je suis Charlie", et clamant des "horreur" "il faut lutter contre l’horrible" etc. la question n’étant plus là..
Les socialistes exploitent donc un "état de guerre" bidon et artificiel qu’ils ont d’ailleurs eux-mêmes créé par leur inertie et leur incompétence ahurissantes pour transformer un régime pourri partant en capilotade, en on ne sait quoi, un espèce de régime "suis generis" sournoisement autoritaire et irresponsable et dépourvu de toute morale et de tout principe. Le pire du pire.
Il est vrai qu’une des antilogies les plus profondes du "droit", est entre la guerre et la paix ! Est-t-on en guerre ou est-on en paix ? En temps de paix, on a le temps. En état de guerre, on a plus le temps.
Donc ils jouent à la guerre ! Si c’était "vraiment" l’état de guerre, ils supprimeraient les élections et suspendraient les tribunaux et ils ne nommeraient pas des nanas débiles au gouvernement ! Les gueules de ces sphinges ministresses prouvent bien que tout cela n’est que posture et imposture. Si la guerre menaçait "vraiment", on ne verrait plus de zozotes en talons aiguilles avec leurs foulards hermès au gouvernement rouler leurs derrières sur le perron de l’Elysée. Toutes ces connes seraient réquisitionnées comme infirmières, brancardières et cantinières (à la rigueur) et pour les plus sympathiques, pour le repos du soldat dans d’honnêtes BMC. Foutaise donc que tout cela. La guerre a un avantage, elle les fait décamper. Joie du poilu dans les tranchées pouvant enfin discuter avec des potes !
Par ailleurs, s’il y a avait une vraie guerre, il n’y aurait bientôt plus de chômage du tout... Le chômage est le propre de l’état de paix.