La Conjuration antichrétienne, de Mgr Delassus : indispensable dans la bibliothèque d’un catholique
11 décembre 2015 02:08, par MikaL"avènement absolu du NWO ne se fera pas sans la destruction du christianisme, et du catholicisme en particulier car son Eglise est hiérarchisée et son influence est mondiale. C’est bien cette hiérarchie qui est sa fondation et sa force, garante de sa surprenante longévité, garante de ses dogmes et de ses valeurs qui doit être abattu. Le reste s’effondrera ensuite, et l’Eglise deviendra inoffensive. De la même manière que le protestantisme l’est.
Il s’agit bien là de détruire la profonde structure de l’Eglise et ainsi apporter un autre système pyramidale à son exact opposée à la place. Même s’il existe d’autres courant qui ont des valeurs similaires au catholicisme, voilà pourquoi le catholicisme doit être "tué" en priorité. Et il n’existe qu’une seule manière pour y parvenir ; s’attaquer à l’Eglise de l’intérieur (en plus des pressions extérieurs en tout genre). Le plus grand danger vient de son infiltration qui semble effective depuis Vatican II.
Lorsque un Pape décide de plaire aux hommes plus qu’à Dieu à travers davantage de préoccupation pour le temporel (politique, climat..etc), on peut déjà s’en inquiéter.
Lorsqu’un Pape décidera de n’être que l’évêque de Rome (et pas juste avec des mots comme le Pape actuel) en renonçant à sont titre de pasteur universel, nous serons fixés.
Mais pour finir sur une note positive, je pense que dans son sein il se passe des choses qui nous dépasse. Le renoncement de Benoit XVI est un élément révélateur. L’Eglise ne pourra se sauver et se relancer qu’en faisant le grand nettoyage dans sa gestion et à l’intérieur de sa curie. Et paradoxalement aux positions publics de François (qui n’engage pas dogmatiquement l’Eglise malgré tout), cela semble être le cas. Il n’a pas d’autre choix que de jouer l’équilibriste entre les différentes forces pour rester audible, et il le reste.
Benoit XVI, en attaquant de face certains problèmes, avait perdu toute influence. Et un Pape sans influence et un Pape qui devient inutile et qui affaibli l’Eglise.
Et puis il y a la position de certains cardinaux, notamment africains (Turkson, Sarah) qui laisse planer le doute. Il semble y avoir de l’espoir.
Au risque de ne pas mettre tout le monde d’accord ici, le Pape actuel semble vivre une papauté sacrificielle au nom de la survie de l’Eglise, nageant entre plusieurs courant. Essayant de plaire au monde d’un coté pour garder son influence (indispensable même si pas vraiment catholique) et nettoyer l’intérieur de l’autre.