Il y a des moments où je me demande si nous ne perdons pas tous notre temps à entrer dans des discussions rabbiniques totalement sans objet, ridicules, sexe-des-anges, pipoul mérovingien, freudisme antédiluvien snob et proustien.
Puisque de toutes les manières le sionisme est la connerie indépassable du genre humain et que nous en sommes tous d’accord (catholiques, musulmans, orthodoxes, bouddhistes, adorateurs de l’oignon, derviches tourneurs), que le sionisme est sécrété par le judaïsme, autre connerie indépassable du même acabit, pourquoi entrer dans des discussions fatigantes à son propos ? Puisque rien ne tient, rien ne vaut, rien n’y vient de rien, rien n’y amène à rien, c’est bête, c’est méchant, c’est con. Alors, pourquoi en parler ? Parlons d’autres choses !
Ouvrons les fenêtres de la "vraie vie", comme dirait ma concierge (qui est d’ailleurs moins conne que le rabbin Gottloeb-Grumentzbib). Ouvrons religieusement les livres des vieux auteurs grecs et latins et buvons aux sources pures qui sont les nôtres. Oublions-les Blumenratt-Zigglerblum ! Aimons-les de tout notre cœur et de nos pieuses âmes puisque nos Glorieux Saints nous y obligent (mais de loin) ! Un pique-nique à la campagne saucisson-baron de Rothschild (1953) avec de bons copains vaut largement mieux qu’une bar-mitzva-coca-cola. Ouf !