"Mur des cons" : la présidente du Syndicat de la magistrature sera bien jugée
29 septembre 2015 20:19, par Anka
« On ne peut pas considérer comme éditeur quelqu’un qui n’a pas voulu rendre public quelque chose »
Donc, si une personne était filmé lors d’une conversation privée, disant certaines choses qui peuvent être considérées par certains comme atroces voir diffamatoires (en fonction des interprétations), il ne risquerait rien au cas où l’enregistrement était publié massivement ?