Nouvel exercice de l’OTAN aux portes de la Russie
21 septembre 2015 01:22, par anonymeParler de l’OTAN( c’est à dire de l’empire du mal) et de La Russie, nous
pousse d’évoquer,presque invariablement,et à contre cœur, la trahison historique, infligée à l’empire russe, par le sinistre gorbatchev .
Ce dernier, aurait pu, s’il avait le moindre brin d’estime de soi, d’exiger la
dissolution de l’OTAN, comme contre partie de la dissolution du Pacte de
Varsovie. Et bien non, comme tout traître, qui n’ a trouvé,pour l’empêcher
d’exécuter sa haute trahison, la moindre résistance, est allé jusqu’au bout de
son crime .
Ceci dit, quand nous critiquons Poutine, c’est plus pour raison liée à notre
respect pour La Russie, que pour une quelconque mauvaise foi, envers ce
bon et grand pays et son glorieux peuple.
La mission de Poutine est de la dimension de celle du Tsar Alexandre et du
sérénissime Koutouzov, qui, tous les deux, avec l’armée et le peuples russes,
avaient pour devoir absolu d’infliger à l’envahisseur Napoléon une sévère
leçon . Chose faite . La Russie, est pour la troisième fois,en l’espace de deux
siècles, est confrontée à chasser un ennemi redoutable de son territoire : au
début du 19 ème siècle c’était Napoléon, au milieu du 20 ème c’était les nazis
et à la fin du même siècle, c’est de l’empire sioniste maçonnique qu’il s’agit. Cette dernière menace, est de loin la plus redoutable, en raison de la
puissance de l’ennemi, mais aussi, en raison de l’appui des traîtres russes à cet ennemi .
Hélas ! l’impunité,absurde au demeurant,dont bénéficie ces traîtres,les
encouragent à aller toujours plus loin dans la trahison .
Or, quand on étudie,attentivement, par exemple, l’article de E&R,intitulé"Vladimir Poutine,homme providentiel",et notamment la perception qu’a le président russe du renouveau de son pays, il y a de quoi être
découragé .
Devant la terrible stratégie de l’empire sioniste, qui vise,purement et simplement la destruction de La Russie, il est tragique de constater que
les dirigeants russes actuels, se contentent d’une politique laxiste et
molle,pour ne pas dire coupable et irresponsable .
Et pour paraphraser Bismarck, disons que : Malheur au chef d’Etat,dont les raisons plausibles de faire la guerre, ne lui apparaissent qu’après la défaite .