En voyant toute cette angoisse, je comprends de mieux en mieux le geste de Mr Domnique Venner (paix à son âme) : Le 21 mai 2013, vers 16 heures, Dominique Venner se donne la mort par arme à feu une ancienne arme belge à un seul coup, devant le maître-autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Laissant une lettre aux enquêteurs, il y explique croire nécessaire "devant des périls immenses pour sa patrie française et européenne, de se sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable."
Il dit : "offrir ce qui lui reste de vie dans une intention de protestation et de fondation , et précise ensuite qu’il s’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille et également contre le crime visant au remplacement de nos populations."
Dominique Venner choisit un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris qu’il respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de ses aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.
Le suicide reste (pour certains) le seul moyen de ne pas assister (impuissants) au déclin de la patrie si chère à leur coeur.