Un jour, il faudra que certains choisisssent entre l’angélisme et la politique, les discussions de salon de thé et la dialectique révolutionnaire.
Si l’on dit "nous sommes en résistance" alors nous sommes en guerre
Si nous sommes en guerre, la justice n’a pas son mot à dire dans cet état et la force tout.
Si la force en temps de guerre l’emporte sur ce qui est juste, le droit y est au service de la force et non de la justice
La justice est donc aux ordres de la force,soit au service du plus fort, qui se trouve être notre ennemi autrement nommé la République, vassale de l’Empire.
Que la République et l’Empire aient d’autres ennemis que nous ou des complices instrumentalisées à qui ils déclarent la guerre, ne fait pas de notre ennemi ni un ami ni un surennemi, non plus que de l’instrumentalisé devenu ennemi, notre ami ; nos guerres sont indépendantes a proportion de l’incompatibilité de nos idéologies.
Il suit de ce qui précède trois règles fondamentales de notre action :
1/ En temps de guerre, seules les lois et les méthodes de la guerre s’appliquent pas celles des salons de thé
2/ Pour être alliés , il faut avoir un ennemi commun désigné et un but à atteindre : tuer l’ennemi. Pas bavasser avec lui ou lui expliquer les prières qu’il devrait faire le soir pour son salut ;
3/ Pour être frères d’armes, il faut avoir en plus d’un ennemi commun une idéologie commune clairement identifiée : la détestation de l’ennemi désigné, ici la République vassale de l’Empire
Il suit de ce qui précède que Dieudo, Abauzit, Hillard, Soral, Faurisson, Ryssen, Reynouard, Livernet, Blancrue, B Le Lay, A de Benoist, T Meyssan, Jean de France, Mgr Wiliamson, la FSSPX, et ... et... et 60 000 000 de Français sont d’ores et déjà dans la résistance
DONC EN GUERRE
TOUS NE LE SAVENT PAS
MAIS AUCUN NE DEVRAIT SE CROIRE EN PAIX CAR C’EST AINSI QU’ON PERD LES GUERRES