Pour la promotion de son film, Yvan Attal surfe sur la paranoïa juive
14 juin 2015 18:14, par jedgreen
Un cliché c’est faire une généralité. Cela vaut ce que ça vaut. Il y a des clichés ridicules et des clichés basés sur des réalités. Si on ne peut plus faire de généralité sur quoi que ce soit alors cela va être difficile de parler politique ou culture ou même faire des blagues. Tout le monde sait bien que chaque être humain est à prendre "au cas par cas" ; que l’on ne peut pas juger l’intégralité d’une personne sur le fait "qu’elle est juive" ou "chrétienne" ou "athée" ou " blonde" ou que sais-je. Cela n’empêche pas de faire des généralités pour parler des communautés humaines, ou simplement pour les commodités de la conversation.
Je trouve juste bizarre que voir que si on n’est pas soit même juif on "tombe dans les clichés" alors si que si on l’est on "fait de l’humour juif".
Par contre, une chose qui me turlupine... en quoi « le ras-le-bol de la Shoah » est un cliché ?
Moi par exemple je ne vais plus voir aucun film qui se passe en 39-45 (Shoah inside ou pas). J’en ai juste effectivement "ras-le-bol". J’en ai trop bouffé. C’est l’overdose (et c’est quelqu’un qui trouve que "La Liste de Schindler" est plutôt un bon film qui vous parle, n’en déplaise à Soral dont je respecte les goûts artistiques par ailleurs ; mais trop c’est trop.)
Si cela fait de moi un antisémite alors je vous dis merde.