Louis-Georges Tin se rend probablement au dîner annuel du CRIF. Je n’ai qu’à aller sur leur site, à part une histoire de pâtissier insignifiante, la question des réparations y occupe pratiquement toute la place (et il appuie le gouvernement sur la censure Internet). Combien existe-t-il de blancs riches dont la fortune tient uniquement du commerce des esclaves par un ancêtre lointain ? Probablement très peu. Alors il reste les autres, qui sont non culpabilisables et qui vont finir par se tourner contre les noirs en les accusant d’être des geignards au lieu de les considérer comme des partenaires égaux. Son organisation ressemble a SOS Rolex, engagée dans des "combats" qui n’ont aucune chance d’aboutir - tant que les subventions pleuvent -. Un type comme Kemi Seba a au moins le mérite de parler de sujets contemporains, d’essayer d’éveiller les consciences concernant des drames en Afrique pour lesquels quelque chose pourrait être fait.