"C’est tout de même la première fois que des gens meurent avec le drapeau européen dans les mains", dixit Raphael emballé à propos des manifestants du Maidan, si la peste emporte Botul on aura le fils Glusksmann, on avait déjà le fils Enthoven.
Le sang des autres pour sa bonne cause "humaniste" et métisseuse, quand à sa femme elle est passée ministre de l’intérieur en Géorgie au même poste en Ukraine après avoir eu la nationalité en quelques mois.
Pour grimper aussi vite dans les échelons, ce sont surement des gens de grandes valeurs, sans aucune comparaison avec ses coreligionnaires sans dents, bêtement nationaliste.
Ce type de personnage, qui se défini comme spécialiste de la révolution (faite par les autres), toujours en déplacement, coïncidence parfaitement avec la caricature du juif fauteur de guerre, se mêlant de tout.
Comme dirait la truffe strasbourgeoise de la LICRA, c’est un personnage qui a 4000 ans et qui veut toujours nous vendre sa soupe mondialiste au profit de la sujétion à son nationalisme caché à lui.
Rien de nouveau sous le soleil, la relève de Botul est assurée.