Pédocriminalité à l’école : quand un psychiatre tente de décrédibiliser la parole des enfants
2 mai 2015 17:12, par MagnaVeritasOn a bien compris pour qui roulait ce type. C’est étrange, il reçoit des pédocriminels dans son cabinet mais il se prononce sur les victimes de ces derniers !
1. Un enfant peut tout à fait « objectiver » un fait, c’est-à-dire, sans novlangue, le décrire.
2. Il peut le faire que cela soit avec ou sans parole car de nombreux processus mentaux se déroulent sans mot.
3. De toute façon il est question de perception. La question verbale est tout à fait secondaire.
4. Que le fait décrit soit objectif ou subjectif n’a pas d’importance, ce qui compte est sa cause.
5. Quoiqu’il en soit, un fait de cette nature ne peut qu’être objectif car l’enfant n’affabulera jamais en portant atteinte à sa dignité.
6. Il ne peut même pas fabuler de la sorte puisque ce genre de faits criminels sont impensables pour lui. Voir la définition de l’innocence.
Ainsi, le baratin de ce salopard est réfuté.
7. Cet affreux tente de faire passer du subliminal à propos des attouchements. Il va dire quoi, que les violeurs sont des violeurs par gentillesse ?
8. On n’a pas à chercher des causes alternatives à un symptôme quand la victime témoigne d’un fait dont le symptôme est la conséquence. Cet affreux nie le principe de causalité.
9. En outre, quand un fait criminel est décrit et qu’un agresseur est désigné, on n’a pas à se contenter de classer sans suite. On enquête, c’est tout.
10. Ce déni systématique et institutionnel de la parole de l’enfant pose la question de son statut : est-ce une personne physique ou un meuble ? La Justice telle qu’elle fonctionne a choisi la seconde définition.
11. La fréquence de ces crimes et délits devrait suffire à en faire une cause nationale. Hélas nous arrivons très tard, mais pour moi il est voulu que des détraqués sévissent en toute liberté, au mieux avec des peines bidon.
Maître Grimaud m’a l’air bien, elle a formidablement réfuté le montage de ces statistiques bidons, je n’aurais pas mieux fait. N’est pris en compte dans les statistiques que ce dont on a connaissance.
Rappel :
Marcel Rufo nie la gravité du préjudice.
En janvier 2010 (probablement le 6), dans l’émission L’objet du Scandale présentée par Guillaume Durand et portant cette fois-là sur l’affaire Courjault, une affaire d’infanticides, un prétendu médecin nie l’immoralité et la criminalité de l’avortement et de l’infanticide.
Hélas je n’ai plus le nom de cet affreux et je n’ai retrouvé aucun lien.