Le cas grec, révélateur de la tyrannie européenne et de son principe de "souveraineté limitée"
27 avril 2015 15:54, par Simon
Très bon article.
Très intéressant, encore une confirmation, par la philosophie du droit, qu’un pouvoir empétré dans ses contradictions n’a plus que la force sur le terrain du réel et la sophistique sur le terrain du discours pour s’imposer.
Les arguments relevés par Sapir sur la subordination de la souveraineté relèvent, ni plus ni moins d’une sophistique libérale (même opportunisme de l’argumentation, et référence à la "nature" comme principe extérieur et surdéterminant, donc apolitique).