"L’Europe refuse de lui verser depuis l’année dernière une tranche de prêt de 7,2 milliards d’euros. Ce versement est conditionné par (...) une réforme du système de retraite incluant des réductions de pensions, et un assouplissement des règles du licenciement pour permettre les licenciements collectifs massifs dans le secteur privé".
"le ministre des Finances, Yanis Varoufakis, a indiqué que la priorité demeurait le respect de ses obligations envers ses propres citoyens, y compris le paiement des salaires des fonctionnaires, et celui des retraites".
Si ces informations sont exactes, approuvons le gouvernement grec :
de résister à ce chantage financier : (tu changes de politique, sinon pas de prêts). Les Grecs savent en effet depuis Platon que, dans un État juste, l’économie doit être au service de la politique, et non l’inverse.
de faire passer son peuple avant "l’Europe", et ses salariés actifs ou retraités avant le capitalisme.