Kadhafi disait fort justement de l’onu,que cet instrument était le conseil de "la terreur",De gaule disait que c’était "un machin". C’est pire que ça,c’est une institution qui a pour but de dominer le monde et de détruire les peuples,en particulier les nations les plus vulnérables.
Ils autorisent les bombardements aveugles d’une "coalition arabe" alors que dans le même temps,ils soutiennent les bandits de Libye,de Syrie,d’Irak,avant ça de Yougoslavie,de Côte d’ivoire,du Venezuela...
Le but de cette manoeuvre est d’empêcher les peuples de reconquérir leur indépendance et leur libertés,surtout ils ne doivent en aucun cas,se moderniser,se développer,se démocratiser vraiment.En somme,ils doivent suivre l’exemple de l’Arabie saoudite,magnifique démocratie.
Maintenant,pourquoi la Russie et la Chine autorisent les bombardements terribles du Yemen et avant ça de la Libye ?
Tout simplement parce qu’il refusent eux aussi,l’indépendance de ces pays.Kadhafi voulait instaurer le dinar-or,la banque africaine de développement et cela c’était inacceptable pour le système dont font partie la Russie et la Chine car jusqu’à preuve du contraire,ils continuent à utiliser les dollar,le financement étranger et les systèmes de paiements occidentaux.
En ce qui concerne l’Iran,le prétexte du nucléaire est futile,l’objectif des puissances,c’est que l’Iran ne puisse pas devenir une puissance mondiale et ne doit pas devenir autonome et libre.
Et cela vaut aussi pour la Chine et la Russie.
Voir l’Iran fabriquait ses propres centrales,ses satellites,ses avions,ses drones,ses ordinateurs,ses voitures...c’est terrifiant pour les américains bien plus que s’ils avaient la bombe atomique mais plus encore,il ne faut à aucun prix que la révolution islamique s’étendent et lors de ’l’accord" signé récemment,c’est ce qu’ils ont du demander à l’Iran.
Pour finir,si l’Arabie saoudite s’acharne tant sur le Yemen,c’est parce qu’il tremble et que la situation intérieure tend à devenir critique et en particulier dans le sud chiite qui va certainement se soulever devant l’horreur qui se déroule à ses frontières.