certains se contentent de la mémoire tandis que d’autres revendiquent la vérité historique.
aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, qu’on en soit conscient ou pas ; la pierre d’achoppement, est, reste, "la shoa" et son corollaire "chambres à gaz", tant que cette pierre ne sera pas brisée nous resterons en 1984.