Encouragement de l’avortement : les députés votent la suppression du délai de réflexion
21 mars 2015 01:07, par Marie59Voilà, on ne laisse plus que 2 jours aux femmes pour prendre LA décision de leur vie ! Parce qu’elles doivent savoir qu’elles seront malheureuses toute leur vie si elles avortent...
Ce qui me met en colère et qui me fait de la peine pour elles, c’est qu’elles ont écouté tous ces mensonges ! Rien à voir avec la bonté, la sensibilité ou une quelconque noblesse d’âme. Les femmes souffrent parce que nos viscères les plus profondes et ancestrales frémissent quand on tue la vie que nous portons. Quand elle avorte, une femme le sait, qu’elle est en train de faire une chose contraire à ce à quoi tout son être aspire. Elle sait que son corps et son cerveau sont programmés pour cela, pour donner la vie. Elle sait qu’elle est en train de tuer son enfant et non pas un vulgaire amas de cellules ! Elle sait aussi que le restant de sa vie elle se demandera comment aurait pu être cet enfant, quels auraient été ses goûts, son âge à chaque anniversaire etc...cet enfant qu’elle aura laissé partir tout seul parmi les déchets d’un hôpital, cet enfant trahi par sa maman... Certes, certaines femmes ne l’admettent pas et peuvent se la jouer encore de longues années : "moi ? aucun regret ! tout va très bien !" Il y en a même qui sont arrivées au terme de leur vie sans avoir réussi à admettre ce qu’elles avaient fait ; trop dur et trop douloureux de reconnaître qu’elles avaient tout loupé, elles ont alors continué à faire l’autruche... Ensuite, parfois, sur leur lit de mort elles évoquent cet enfant, cet avortement, 60 ans plus tôt. Des femmes qui se sont endurcies, aigries et sont restées seules. Des femmes qui avaient amené la névrose dans leur famille, faisant payer le prix aussi aux autres enfants. Femmes dépendantes de l’alcool et des tranquillisants. Femmes qui n’arrivaient plus à se regarder dans un miroir. Femmes qui avaient perdu l’estime de soi-même et, de ce fait, ne se faisaient pas respecter des hommes. Femmes qui n’avaient pas dénoncé leur violeur parce qu’elles pensaient qu’elles avaient mérité ce mal.
Et où nous mène tout cet endurcissement du coeur ? Voilà, encore aujourd’hui, en France, un cas d’infanticide néonatal, 4 nouveaux nés retrouvés dans un congélateur. Et des cas comme celui-ci, attendez-vous à ce qu’il y en ait de plus en plus ! Parce que cette mère infanticide le sait : quelle différence entre après ou avant la naissance ? Voilà où nous en sommes arrivés avec cette banalisation dramatique de l’avortement ! Et le déni de grossesse a bon dos...