Je veux bien qu’il pourrait y avoir matière à critique, mais à part le fait que le but probable soit idéologique, je pense qu’il vaudrait mieux combattre l’anglicisation de la langue que de perdre son temps sur ce cas là.
J’entends de plus en plus les journalistes employer des termes anglais ou américains, je peux le comprendre quand ce sont dans des cas particuliers, ou que les intervenants soient tellement noyés dans des milieux internationaux, où l’anglais est employé par tous, que les mots sortent "naturellement".
Mais j’entends souvent des journalistes utiliser des anglicismes voire carrément des mots anglais qui déjà sonnent mal à l’oreille, qui ensuite possèdent leurs pendants en français, et surtout, et ça se sent et s’entend, on perçoit que c’est forcé et vraiment pas du tout naturel.
Je vous le dis, c’est l’anglais qui est à combattre pour la langue française, langue qui est destinée à devenir la langue du N.O.M et qui bouffe step by step (C’est une ironie) la langue.
Je trouve personnellement malheureux l’intervention de Mr Brighelli et surtout la remarque concernant le 1er mot assez surligné je trouve du fait de son origine arabe, qu’il aille plutôt s’occuper du vrai ennemi de cette belle langue qui lui va la bouffer toute crue !
P.S : C’est un franco-algérien, avec la double nationalité, et kabyle de surcroît (C’est grave là docteur ? Oui, non,... autre ?), qui vous parle, mariée avec une française "de souche" qui s’évertue quasiment tous les jours à défendre la langue et qui se fait à chaque fois rembarrer dès que le sujet est abordé, pas par Ali ou Babakar qui eux sont ("étrangement" ?) d’accord avec moi.