4°- L’ouverture vers la gauche
Dès son arrivée à l’Elysée, N. Sarkozy a montré sa perméabilité aux modes idéologiques provenant de la gauche. Au mépris de ses électeurs et de ses militants il n’a eu de cesse de nommer à des postes importants des hommes de l’autre bord qui, pour la plupart, le jour venu, l’ont trahi. L’ « envoûtement » pour Malek Boutih, ancien président de SOS Racisme, fut symptomatique. Bernard Kouchner fut ministre des Affaires étrangères à un poste où il eût fallu un personnage compétent et influent au plan international. Fadela Amara, Martin Hirsh, Eric Besson furent d’autres perles du collier politiquement correct de N. Sarkozy. Comment s’étonner des problèmes de constitutionnalité avec la nomination de Michel Charasse au Palais Royal ? Et M. Tandonnet, de visite au QG de campagne du candidat Sarkozy en 2012, releva la présence d’Arno Klarsfeld qualifié de spécialiste de l’immigration !
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5°- Des augmentations d’impôts sensibles malgré les promesses
N. Sarkozy a multiplié les impôts : près de 40 taxes ont été créées pendant son mandat, notamment sur la bière ou sur les sodas. En contradiction avec ses engagements, les prélèvements obligatoires, qui avaient un peu baissé de 2007 à 2010, sont passés de 2010 à 2012 de 42% à 44,5% du PIB. Hollande n’a fait que poursuivre cette politique confiscatoire en l’amplifiant (2).
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6°- Une économie en berne, un chômage en hausse, une population appauvrie
Les principaux indicateurs économiques montrent une dégradation de la situation de notre pays. La désindustrialisation s’est poursuivie et l’emploi industriel a sensiblement baissé.
Le taux de chômage, qui était environ de 8% en début de mandat, était de 9,5% du PIB en 2012, soit une hausse d’à peu près 15%. La paupérisation d’une importante partie de la population s’est poursuivie.
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7°- Duplicité et manque de méthode