Un restaurant russe à Paris subit les dommages collatéraux de la propagande anti-Poutine
1er décembre 2014 21:31, par SC
Tous mes regrets pour ce couple. Voilà ce qui arrive quand les médias ont zombifié une partie de la population à grands coups de TF1, AFP, Le Monde, Le Figaro, Libé, les radios, dans lesquels cette masse puise, que dis-je, subit une opinion prémâchée, sans chercher à se la forger en recoupant l’information dans différents courants de pensée. C’est ainsi que l’on voit des quadras aux cheveux argentés, des mères de famille, des punks à chien grossièrement manipulés exulter et scander presque la bave aux lèvres "No pasaran", hystériquement, sans rien connaître de géopolitique, des forces en présence ou des réseaux qui les animent. C’est ainsi que ces zombies qui se targuent d’avoir le monopole de la tolérance aspergent une librairie de peinture, tabassent les souverainistes qui aspirent à une contre-société critique à l’ultra-libéralisme, ou harcèlent les ressortissants de pays non conventionnels pour l’oligarchie impérialiste. Poutine est si méchant. Une palanquée de zombies, soutenus par l’Etat et les faiseurs d’images, et rendus ainsi dangereux pour l’autre partie de la population. Voilà ce qu’autorise notre système de gouvernance nommé "démocratie". Il nous faut en sortir par le débat populaire, l’éducation, le référendum ou le modèle à la Chouard.