Coup de pub à la FIAC de Paris au Grand Palais ou mise en garde ?
Pervertere en latin, c’est " mettre sans dessus-dessous, détourner quelque chose ou quelqu’un de sa vraie nature." Mais retourner ou dévier ne signifie pas changer de nature. Nous ne pouvons pas nous détourner de dieu, nous sommes faits de sa substance, quelque forme qu’elle prenne. Par contre, la négation du principe de vie amène au suicide individuel ou collectif et c’est contre cela qu’il faut lutter dans ce règne de la stupidité. Le diable a toujours été un loser (un naze) en couche-culotte.
Dans les grottes du paléolithique, l’’art est une tentative naturelle et collective de communication divine. Aujourd’hui c’est une propagande de destruction qui veut faire reconnaitre la monstruosité comme norme comportementale. La volonté du marché de l’art est de rémunérer des agents marketing pour qu’ils produisent de la perversité et de l’infantilisation. C’est le fait de cerveaux malades qui imposent leur univers névrosé aux autres. C’est l’escroquerie bourgeoise moderne qui tend vers la médiocrité mafieuse communautaire. Soral a raison quand il dit que cela amène au robot ménager, à l’objet industriel, projection de notre esclavage moderne, de la négation de l’être par son avilissement, vers un rien civilisationnel par la haine du sain et du vivant.
Faire passer ces grands riens sponsorisés pour ces petits riens spontanés qui font la vie, satan abuse des gens en leur faisant croire qu’il tend vers dieu. Le diable impose la reconnaissance de la copie sur l’œuvre, du vice sur la vie, du hideux sur l’idée. C’est la négation du principe générateur, de beauté, d’unité. La création contemporaine c’est l’absence de création, c’est l’anti création.