La solution est simple :

 Faire du protectionnisme contre les produits d’importation qui pourraient être fabriqués chez nous (il faut que les gens trouvent plus d’intérêt à acheter français que du manufacturé en Chine ou en Indonésie par des esclaves)
 Protéger notre marché intérieur en baissant les charges et en aidant financièrement les petites structures (cela limitera les délocalisations et encouragera l’embauche) au lieu de financer un cinéma français lamentable ou une presse mainstream aux ordres qui ne se vend plus.
 Faire un audit sur la dette afin de déterminer ce qui doit être rembourser (la dette vertueuse) de ce qui devra être repoussé aux calendes grecques (les intérêts des intérêts des intérêts de etc.)
 Revenir à un franc qui cohabiterait (peut-être) avec l’euro (sinon on le fait sauter) et dont on réévaluerait sa valeur à la baisse.
 Alléger le poids qui pèse sur les contribuables (faire baisser la TVA sur l’essence, supprimer la redevance télé, gratuité d’internet...)
 Replacer sous l’autorité de l’état la Banque de France afin de ne plus recourir uniquement à l’emprunt privé qui nous fait accumuler une dette monstrueuse. Ainsi, en créant une monnaie à taux zéro régulièrement mais sans précipitation pour ne pas provoquer trop d’inflation : on rembourserait au fur & à mesure. Cela prendra des siècles, mais on finirait par rembourser...et dans le pire des cas, on fait comme a dit Colbert : on déclare l’état en banqueroute et on remet l’économie au vert.
 Encourager les enfants dès l’âge de 12 ans à s’orienter vers des formations ou de l’apprentissage pour obtenir des techniques professionnelles et orienter les plus intellectuels vers l’enseignement supérieur (on a pas besoin d’avoir 100 000 sociologues qui passent 30 ans sur les bancs de la fac).
 Revaloriser les métiers manuels auprès des jeunes.

Rien qu’avec ça, on aurait déjà réduit la moitié des problèmes ! Et ça n’a rien d’utopiste, on pourrait parfaitement le faire mais on ne le fait pas/plus parce qu’on a des élites traîtres ou qui ont trop peur de se faire traiter de facho-nazi par les européistes.