Il est évident, à la vue de ce reportage (et replacé dans un contexte plus large), que le pouvoir politique a fait de la destruction de l’armée française une priorité dans son agenda.
C’était, en effet, le seul contre pouvoir en mesure de mettre en échec le projet de vente à la découpe du pays par un coup d’état militaire, et de pouvoir ensuite supporter l’énorme pression qui s’en serait suivie.
Aujourd’hui, avec des effectifs faméliques, des troupes engluées dans des opérations extérieures et des matériels vieillissant, il est plus que probable qu’un coup d’état de cette nature n’aurait plus les moyens de ses ambitions.
D’ici quelques années, l’armée française (ou du moins ce qu’il en reste) aura disparue, vidée de sa substance et de ses outils de souveraineté... Si rien n’est fait, si nous ne nous révoltons pas, la France suivra le même chemin dans la foulée.