Super article de prospective !
Doit-on comprendre qu’une fois encore les sociétés privées ont fait des bénéfices importants et rapides en réalisant ces ouvrages - à obsolécence mal contrôlée ? - et que ce sont l’Etat, les collectivités, donc les contribuables qui prennent en charge les coûts considérables de maintenance et de reconstruction ?
Tout un symbole : l’écroulement comme un chateau de carte du capitalisme contemporain. Du fait de la prise de pouvoir totale des financiers, difficile d’envisager que cette crise "infrastructurelle" serve à un changement de paradigme.