Cette histoire est triste, donne lieu à bien des discussions et porte à réfléchir, encore, sur la société, entre autre sur l’hypersexualisation, et on touche là quelque chose de fonda mental, l’instinct prémitif de reproduction ; un autre instinct primordial et violent avec lequel la société de consomation joue est l’alimentation. Mais une question qui me turlupine depuis quelques temps : pourquoi ces gens qui disjonctent s’en prennent-ils toujours à des innocents ? Chez moi y’a eue Lépine, Gil, aux U.S. y’a eue lui, Colombine et j’en passe, sans oublier Brevik, et encore et toujours des inocents dans les attentats terroristes partout dans le monde. Mais pourtant, il ne s’en trouve jamais pour péter les plombs face à ceux qui profitent de la misère humaine à grande échelle, source de la plus grande injustice, de la pire colère et légitime qui soit, et de toute cette destruction inqualifiable, face aux capitaliste impies et impitoyables ? Poser la question c’est peut-être y répondre : parce que ceux-là qui voient cette réalité en face, sont ces justes que la sagesse et le bon sens leur indiquent la voie de la pacificité ; mais aussi des fois, et c’est compréhensible, de la passivité... Pour ma part, tout mon être s’insurge devant la tournure du monde de notre époque, et c’est là une épreuve titanesque de rester fort tout en étant informé, critique et réaliste.