Mouai, pourfendeur de porte ouverte.
Pas de problème, mais je pense que son analyse relève surtout d’une réflexion en profondeur de problèmes de surface.
La culture, la nation, l’identité nationale sont des données purement artificielles, dans le sens où ce sont des constructions humaines, par conséquent changeantes, flottantes, évolutives, soumises aux aléas et aux déterminismes de l’histoire et de la vie tout court.
René Guénon, paix à son âme, a été beaucoup plus loin dans le raisonnement et surtout il a dépassé sa personne afin de mieux apréhender le monde environnant.
L’histoire de la fabrication d’un homme nouveau, vieille comme le monde adamique, veut bien dire ce que cela veut dire : on appelle cela le luciférianisme, où l’homme renie l’autorité de Dieu et se voit proposer (par voie suggestive infrahumaine, par le diable qui a inauguré la descente...) de devenir sa propre autorité, sa propre divinité.
L’homme étant lui-même instable, faible, instinctif et égoiste, on voit bien où tout cela est en train de nous mener jour après jour.
Il m’a l’air un peu naif Mr Juvin... Ca reste du petit lait, on mouille pas la chemise avec cela...