La légèreté de cet article est saisissante. Pour ceux qui douteraient encore, prenez simplement l’habitude d’observer le ciel ; à courir après notre quotidien en ces temps troubles, c’est une habitude que l’on perd malheureusement.
Nul besoin d’être ingénieur en aéronautique pour constater qu’effectivement "les traces de condensation identifiables à des altitudes élevées de l’ordre de 10.000 mètres se résorbent rapidement. Alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes plus basses entre 2.000 et 5.000 mètres et s’estompent très lentement".
Autrement dit, un avion de ligne classique vole beaucoup plus haut et sa trace, environ 20 fois la taille de l’avion, disparaît à mesure de sa progression. Les avions de l’OTAN volent bas et laissent des traces persistantes, avec plusieurs effets dont le plus oppressant est sans doute l’effet "ciel voilé" : les traces s’épaississent et se dispersent jusqu’à obtention d’un voile blanchâtre qui coupe du bleu du ciel et des rayons du soleil.
La phrase "Préoccupant. Au point de faire l’objet d’une question devant l’Assemblée nationale fin 2013." est une "phrase somnifère", le marchand de sable est passé...
Préoccupant ?! C’est gravissime, dramatique et en réalité ça signifie que nous sommes en guerre (vérifiable sur beaucoup de plans à présent).
Et maintenant ces filaments de nature très étrange, extrêmement difficiles à analyser en laboratoire. En France. Renseignez-vous sur la maladie des morgellons - c’est toujours facile d’endiguer l’information quand ça ne touche qu’une poignée de personnes aux Etats-Unis ou au Canada, mais ces quelques personnes qui ont des fibres synthétiques (?) qui leur sortent de la peau, ça pourrait aussi bien être nous.
Je suggère donc, si ce n’est pas déjà fait, que nous prenions directement contact avec les haut-gradés de l’armée de l’air plutôt que de passer par la voie hiérarchique et par les mollusques et autres crabes qui nous servent de tristes représentants aujourd’hui. On ne va pas perdre des mois et des années en palabres tout en laissant soigneusement le temps au poison d’agir.