La NASA prévoit la disparition de la civilisation d’ici quelques dizaines d’années
22 mars 2014 01:45, par Loulou
Il suffit de voir comment nos villes et villages évoluent et se souvenir, ce n’est pas compliqué à comprendre pour se rendre compte que l’on ne peut pas continuer sur ce rythme.
En quarante ans de constat depuis ma petite enfance, là où il y avait des champs et des ruisseaux juste derrière le bâtiment que nous habitions (et pas dans le centre-ville) dans une petite ville, il faut maintenant faire cinq kilomètres pour retrouver un champ aujourd’hui.
Les champs de pommes de terre, de blé, les vergers, les prairies d’élevage sont devenus bitume, bâtiments ou lotissements. Sans parler du mitage que constituent les réseaux routiers, les zones commerciales, les maisons éparses qui ne sont même pas des fermes ou d’anciennes fermes...
Je ne parle même pas de la consommation jetable et tous ces produits qui viennent de l’autre bout de la Terre pour trois francs six sous. Et puis sans vouloir faire dans le registre nostalgique, en 70 une Deudeuche c’était du quasi sinon du 100 % français (dans le sens de construit "local").