Les jeunes du Front national attentifs aux analyses d’Alain Soral ?
24 février 2014 00:18, par Penn Fur
En Bretagne, nous avions un barde, Glenmor qui a mené une vie d’artiste assez singulière. Après des études à Rennes, il parti voyager du côté de l’Ukraine. Il revient en France et s’installe à Paris, où il fut un ami proche de Jacques Brel (Ils se facheront pour une histoire de gonzesse, cf. Le Moribond, "ce vieil Emile qu’il aimait bien"). Après une longue correspondance avec Xavier Grall, il est revenu en Bretagne vivre le reste de sa vie, s’engageant là pour sa culture.
Par une touche Bretonnante forte, sa pensée paraîtra pourra paraître assez originale et complexe à aborder et observer pour un oeil étranger à la Bretagne. Pourtant, dans le creuset qui compose cette pensée, au delà d’une haine farouche de ce cosmopolitisme, qui nourrissait le Paris de ces années là, et dont parle quelque part ici, au niveau planétaire, A. Soral, lui le gravait dans sa chanson "Sodome". Il a aussi su écrire ce retour au pays, et la nécessité d’y grandir et d’y vivre. "Le Sang nomade", et la chanson "Les amicalistes" l’évoquent. Un poète écrivain souvent minoré parce que très engagé, et très en verve, mais tellement en avance à l’époque.. Intéressant de voir qu’aujourd’hui des échos analogues prennent du volume.