1983 env. dévaluation du Bolivar, les problèmes de change sont récurrents, les plus riches achètent du Dollar et remplissent avec, les valises qu’ils emmènent à Miami où ils ont villégiatures et coffres forts, c’est un classique. Sans parler des ’habitudes administratives’ dans un endroit du monde où on peut tout se payer. Très gros ’problèmes’ de malversations et de corruption du haut en bas des institutions, un sport national. La ’révolution Bolivarienne’ c’est un bruit de fond permanent, un peu comme la ’révolution de goche’ en vrounze. Un gimmick national. Sur le fond c’est comme partout, il y a ceux qui écrèment et ceux qui la crèvent, sans trop se faire de bile, pas d’hiver, pas de pénurie de nourriture de base. Il vaut mieux éviter, comme c’est souvent le cas, d’exporter le modèle européen d’analyse sous ces latitudes si on veut y comprendre quelque chose. Il est clair que , d’une part, l’argent de la rente pétrolière a du mal a toucher le sol, et que de l’autre il fait quelquefois si chaud qu’on a du mal a faire quoi que se soit d’autre que de la hamaca...Luego pues chamo...un saludo a los venezuelanos quien son buenas gentes !