La nature contre la théorie du genre
25 février 2014 19:35, par LouiseBonjour,
Aller à la source. Voici les précisions du Docteur Katie Hinde quand "aux commentaires déformés liés à son étude" : http://marker.to/0pxynU
Cette étude m’intéresse au premier chef, étant infirmière puéricultrice. Les questions autour du lait maternel et des laits maternisés mobilise toute mon attention.
Ainsi, ce que je retiens de cette étude du DR. Hinde, c’est qu’il semblerait qu’à certains moments, dans certaines situations, la composition du lait maternel varie. Honnêtement, il y a belle lurette qu’on le sait que la composition du lait maternel est variable selon l’âge (colostrum à la naissance) et l’alimentation de la mère allaitante. Rien de neuf jusque là.
Ce qui retient mon attention, c’est qu’il y aurait un niveau de "variabilité de composition du lait maternel en fonction du sexe" (mâle ou femelle).
Et le DR. Hinde de rajouter "Il n’existe que quatre études sur la composition du lait maternel humain, et qui n’aboutissent pas aux mêmes résultats. C’est pourquoi nous devons continuer à faire des recherches sur ce qui modifie la composition du lait pour les garçons et pour les filles. Cela permettra de mieux adapter aussi la composition de lait de substitution". Sincèrement, y’a-t-il de quoi fouetter un chat ?
Ceci étant, ce sujet "de lait sexué" est à suivre avec beaucoup d’intérêts, car je pense aux jumeaux dizygotes (une fille-un gars ; quid alors de la composition du lait ?), aux nourrices d’après-guerre qui ont allaités quantité d’enfants indifféremment de leur sexe, pratiques encore en usage de part le monde, aux centre de don de lait maternel (oui, pour celles et ceux qui ne savent pas, on peut donner son lait maternel, comme pour le sang, et c’est bien utile. Ne jetez pas votre excédent de lait maternel : donnez le !), etc.
Lait maternel contre théorie du genre, titre l’article. du genre... lobotomisé ?
Car j’en profite pour rappeler que les laits en poudre contiennent, entre autre, de l’aluminium et quand vous additionnez toutes les sources d’aluminium que reçoit un enfant : lait maternisé, vaccins, médicaments, eau, etc... c’est 2 à 3 fois la dose toxique !
Hors il est clairement établi que l’aluminium est impliqué dans de nombreuses maladies neuro-dégénératives : Alzheimer, Parkisson, Myofaciite à macrophage, encéphalopathies, etc.
Alors théorie du genre ou pas : oui à l’allaitement maternel (quand possible et choisit s’entend). Faire confiance à Mère Nature !
Bien à vous,
Louise, IPDE