Ce ne sont pas les propos tenus par l’humoriste controversé qui ont été jugés mais la responsabilité de la diffusion de la vidéo sur Internet. Or, l’enquête policière n’avait pas permis d’identifier l’auteur de la diffusion et la responsabilité de Dieudonné n’a pas été prouvée selon le tribunal.

Notre justice est tellement pitoyable que même quand elle prends une bonne décision elle trouve le moyen de le faire pour des prétextes complètement bidons.
Bien sur que l’auteur de la diffusion des vidéos de Dieudonné est Dieudonné (ou ses proches), qui d’autres ? Le pape ?

On aurait préféré qu’il soit relaxé en raison du droit à la liberté d’expression (et donc du droit à la provocation humoristique, que nous on appelle "quenelle") plutôt que pour un vice de forme débile.

Enfin bon, c’est toujours ça...