Pédophilie, perversion, clichés racistes : Mon copain Rachid, synthèse de la gauche libertaire
6 février 2014 20:38, par maryse
Il me semble que la sexualité enfantine est plus innocente que cela. Quoi ? le scénariste fait l’apologie de la grosse bite ? La fin est un peu simpliste.Le blanc qui réussi, l’Arabe qui échoue dans sa vie. D’autre part, la relation entre les deux enfants est plus qu’ ambiguë. Assurément, ce film n’est pas fait pour élever l’homme de sa condition.
D’autre part, il est précisé dans l’article “qu’ à l’origine, F. Mitterand devait jouer un professeur dans une classe.Faute de moyens, nous n’avons pas pu tourner cette scène.“ Message implicite ? L’école, avec un bon encadrement, peut faire l’ èducation sexuelle des enfants et ceci à partir d’un certain âge.