Face au krach, des boucliers et des épées pour la République, par Jacques Cheminade
6 février 2013 01:52, par ArctosaCe n’est pas en sortant des idées sortie d’on ne sais ou qu’on deviens crédible.
2. Bouclier logement. Interdiction des expulsions de tout logement ou de tout logement en location constituant une résidence principale, le coût de l’achat ou de la location se trouvant limité à un versement de 20 % maximum des revenus (aides comprises) des acheteurs ou des locataires.
Plus personne n’investira dans la construction de biens immobiliers à but locatif, déja qu’a l’heure actuelle gràce au gouvernement cela ne sers plus rien, la on toucherai le fond absolu.
1. Voter « non » au Traité européen simplifié et sortir de l’Europe de Maastricht, qui bloquent toute émission de crédit productif public pour de grands travaux. Remplacer la Banque Centrale Européenne par une association de banques nationales, qui émettent ce crédit d’Etat en faveur de projets communs
Impossible, avec une saturation du marché interbancaire, dissoudre la BCE reviendrait à détruire tout l’économie francaise, européenne, et mondiale par effet systémique.
2. Se battre pour une politique européenne et eurasiatique de grands travaux et de technologies de pointe, de l’Atlantique à la mer de Chine - un Pont terrestre eurasiatique créant un développement mutuel pour assurer la paix mondiale et le retour à une culture de la découverte et de la production.
U.T.O.P.I.Q.U.E
4. Se battre pour un nouveau Bretton Woods, un accord monétaire mondial mettant en règlement judiciaire le système financier actuel, interdisant le recours aux produits financiers dérivés sur tous les produits vitaux, annulant les dettes illégitimes, et organisant un accord entre banques nationales pour financer les grands travaux.
Un nouveau Bretton Woods ? Personne ne l’acceptera à part les faibles.
Quant à l’interdiction des produits dérivés, cela ralentirait les performances des banques et donc les investissements, les normes de Bâle actuelles vont dans la bonne direction, ne restes plus qu’a exercer un meilleur contrôle sur les produits risqués.