Alain de Greef, ou Alain, le greffier de la dictature bienpensante ?
On commence à s’habituer de "la griffe" agressive des bouffons du roi et des flagorneurs de tout bord, que le carriérisme, véritable machine à pleutres du système, en a fait des opportunistes médiatiques qui veulent empêcher Dieudonné de travailler, parce qu’ils touchent, rubis sur l’ongle, la pitance de juda, la pitance de la trahison. La quenelle est un symbole de liberté qui appartient au peuple Français, et parce que ces célébrités ont peur de perdre leur notoriété, parce qu’ils ont peur d’être exclus de leur petite famille bourgeoise ostentatoire basée sur un matérialisme (esclavage) décomplexé, ils veulent détruire un symbole populaire basé sur la fraternité. La quenelle est l’expression de la base, et ni Hollande, ni ses bouffons, ne pourront l’interdire !
J’adresse une quenelle au piment antillais à tout ces flatteurs idolâtres de l’argent et de la notoriété, qui veulent s’en prendre injustement à la liberté d’expression, parce que Dieudonné exerce son droit naturel de vouloir connaître la vérité sur l’histoire, en faisant face à une oligarchie anti-intellectuelle qui se donne le droit de nous interdire l’utilisation notre cerveau, qui nous interdit notre curiosité naturelle qui nous accompagne depuis notre enfance, en usant d’une coercition contre-nature et illégitime. Vous les bouffons du gouvernement, philosophes, écrivains, humoristes, qui attaquez Dieudonné, un homme qui fait honneur à l’espèce humaine, vous, vous faîtes de la grandiloquence pour faire honneur à l’espèce sonnante et trébuchante !
Honte à vous, vaniteux des vaniteux !
Honneur à Dieudonné, quenellier des quenelliers !
PS : Avant j’étais un membre (pas encarté) de la LCR, et quand j’ai vu que Olivier Besancenot pouvait piloter la télévision pour empêcher Alain Soral de s’exprimer, et bien j’ai claqué la porte, et comme je suis de caractère "révolutionnaire", je compte acheter le livre "comprendre l’empire", à titre de Quenelle contre les pseudos-révolutionnaires qui pleurnichent devant les tsars de la pensée unique.