Ainsi Luc Boltenski, psychiatre, n’hésite pas à violer le code de déontologie médicale pour défendre le sionisme attaqué par Soral.
Ce code interdit pourtant de divulguer à quiconque ce que le médecin croit avoir compris de la pathologie d’une personne privée, ça s’appelle le secret médical.
Boltenski affirme que Soral est atteint d’une forme de paranoïa décrite par Freud. Dans le cas Schréber, Freud fait un lien direct entre paranoia et déni d’une homosexualité latente. Boltenski suggère donc que Soral souffre d’une psychose paranoiaque parce qu’il ne peut s’assumer en tant que pédé.
Ce dévoilement du secret médial justifie des poursuites pénales et une radiation du tableau de l’ordre des médecins.
Ce diagnostique est non seulement totalement erroné mais vise à servir les seuls intérêts personnels du médecin afin de défendre ses idées sionistes et continuer à passer à la radio d’état. Boltenski tombe ainsi triplement sous le coup de la loi, car sa divulgation du secret médical relève aussi de l’usage abusif de la médecine et surtout de l’insulte publique, le diagnostique de paranoia infondé réalisant outre une diffamation, une injure publique.
Ce déchet mérite d’être condamné pénalement et de se voir ensuite radié du conseil de l’ordre de la médecine.
C’est le même genre de médecin que ceux qui assistent les gouvernements pour permettre que soit pratiquées plus longtemps les tortures, à Guantanamo et ailleurs.
L’attitude de Boltenski n’inspire aucune confiance envers la psychiatrie d’état. C’est un criminel vu le taux énorme de suicides en France.