Réponse de maître Louis Aliot, Vice-Président du Front National, à Monsieur Cukierman, Président du CRIF
Cher monsieur Cukierman, je vous écris pour vous redonner le sommeil après les cauchemars qui hantent vos nuits. Pour ce faire, je vous livre un scénario auquel vous n’avez pas pensé et qui réglerait le problème de vos insomnies.
Le 14 mai 2017, le visage de Marine Le Pen apparaît sur les écrans, elle est la première femme élue présidente de la République de toute notre histoire. Elle a été durant la campagne rejointe et appuyée par de nombreuses personnalités de toutes conditions et de toutes origines qui dans un même élan national et républicain ont à nouveau voulu communier aux sources de la France et du bon sens.
Quelques semaines plus tard, une majorité se dessine, plurielle, patriote, souverainiste, ambitieuse, déterminée, qui révèle pour la première fois le formidable potentiel de tous les laissés-pour-compte d’un système politique trop longtemps confisqué par la droite et la gauche. Les premières mesures sont à l’image du nouveau pouvoir, démocratiques, souveraines, laïques.
D’abord, démocratiques avec la représentation proportionnelle, l’élargissement du champ du référendum et le référendum d’initiative populaire. Pas de scénario apocalyptique, pas de chasse aux sorcières, pas de lois d’exception, pas de restriction des libertés, mais une application stricte de la devise de notre république Liberté-Egalité-Fraternité et le respect du premier article de note charte fondamentale : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances… »
Ensuite souveraines, car la France deuxième puissance de l’Union appelle à la renégociation des traités et à la refondation d’un contrat européen par la négociation. Elle emmène dans son sillage tous les pays épuisés par l’austérité mais aussi l’Allemagne qui sature de payer pour les autres et la Grande-Bretagne qui appelle à ce grand chamboulement depuis longtemps. La France n’est donc plus seule. La technocratie est aux abois, Barroso en congé et la Commission au placard. La souveraineté retrouvée et les nouvelles coopérations permettent un renouveau économique ... lire la suite dans http://enavantperpignan.com/2013/11...