Affaire Priebke : quand les autorités romaines rampent…
23 octobre 2013 16:45, par RobespierreJe ne conteste pas publiquement l’existence de l’anchois. Il y a des lois.
Mais je me tamponne profondément le coquillard des douleurs héritées de ceux-qui-z-ont-tant-souffert par la vertu de la sainte usine à gaz. J’en ai vraiment rien à cirer du dolorisme des histoires juives du genre La Liste à Schischi, et tous les oscars pourris de propagande du type Un jugement un Nuremberg (à revoir, histoire de se souvenir que les « têtes polonaises réduites » sont des « preuves »), ou La vie est belle — mon cul sur la commode.
On m’en a fait bouffer, depuis la primaire, du Silbermann, du La Mort est mon métier et des p’tits z’enfants z’étoilés. Matin, midi, soir. La Schneck, complaisamment relayée par ses potes de Radio-France-(Israël), a même tenté de m’extorquer de la pitié avec des gosses qui auraient pu naître, on n’sait jamais. Faudrait penser à La Réparation. Après Du rhum, des femmes et d’la bière nom de Dieu, des trains, des douches et du zyklon. Par tous les temps, en toute saison : de la chouinerie faisandée à la Gérard Jugnot-Batignole, du tire-larme pontifiant genre Au revoir les enfants (Cassez-vous, dégagez !) réflexionnant avec profondeur sur Auschwitz et le sens de la vie des ramoneurs. Je me torche l’as de pique avec le soi-disant chef-d’œuvre de Primo Lévi. Si c’est de la littérature, alors Marc Lévy écrit mieux que Flaubert et les anchois n’ont pas existé. Tiens, prends encore une louche de l’Ami retrouvé. Ça parle de nazis et de Juifs. Et encore une autre, mon pote, avec Le Journal d’Anne Frank, dite Pointe Bic. Même sujet mais en Hollande.
J’ajoute que le film de Lanzmann dont on nous a rebattu les oreilles est interminable tellement il est ennuyeux. Que c’est un gluant navet prétentieux et creux, et qu’Abraham Bomba, entre autres, raconte plus ou moins n’importe quoi, comme une vieille tapineuse qui se fait prier pour débiter son petit récit rodé et émouvoir le badaud. D’ailleurs nous avons dû nous mettre à deux pour regarder, presque jusqu’au bout, cette daube abyssale, avec un narguilé et de la vodka, tellement c’est mauvais.
Quant à mon devoir de mémoire, je l’ferai pas, et j’emmerde ceux, comme le gras Tintin introverti du CRAN, les Klarsfeld inc. ou l’autre qui a fumé la moquette avant de parler de « sodomisation des victimes » de la Shouinah, qui viendront éructer leur médiocres capucinades.