Roms : tollé après les propos d’un juge
25 septembre 2013 17:21, par MakhanorCamarades,
Il ne s’agit pas de haïr des nomades voleurs mais de punir ceux qui organisent le pillage.
Au premier chef le ministre de l’intérieur qui montre ses muscles pour aspirer la colère populaire tout en laissant pourrir sciemment la situation.
Cette "opération Roms" est un classique de l’ingénierie sociale :
faire entrer une minorité d’étrangers hostiles sur le territoire quand le peuple autochtone, tyrannisé par l’oppression économique et mentale, atteint un seuil de frustration où sa colère doit se décharger au risque d’une explosion collective incontrôlable.
livrer à la vindicte populaire les indésirables en s’emparant de la légitimité contestataire d’un côté (à droite) et culpabiliser le peuple spolié au nom de la tolérance de l’autre (à gauche).
Par cette opération, le pouvoir renforce son aile droite afin d’affaiblir le camp national et pérennise un peu le spectacle de la partition idéologique.
Et quoi de plus efficace pour faire chanter le coq que de le pousser à molester une "minorité opprimée" ?
Car enfin, lorsque un camp Rom va cramer ou qu’une Hamidovic finira dans une benne, qui aura la légitimité pour ériger son indignation en étendard de la honte collective ?
Qui endossera la douleur des victimes (expiatoires) au nom de son calvaire millénaire afin de rendre le peuple français encore plus redevable et alourdir sa dette morale pour mieux dilater sa dette financière ?
C’est une opération qui vise à créer de l’antiromisme.
Un galop d’essai.