Merci de ce documentaire qui remet les choses en perspective, réconcilie, avec JLG.
Le côté presque bouddhiste fantôme de JLG, cette sérénité dans la tempête d’imago, fabrication non de l’oubli MAIS de notoriété, être connu parce qu’on est bien connu, d’une notoriété à l’autre. A lire absolument "l’obsolescence de l’homme" d"Anders le livre que Guy Debord à falsifié( il nommait JLG "le plus con des suisses pro-chinois), très claire chez ce mec, le salarié est un fantôme de la machine, dès la 2eme page il parle de la honte prométhéenne de l’homme face à elle, monstre de division du travail, plus intègre, complet que lui.La classe ouvriére ne peut être une classe, elle a une place, ce n’est qu’une lutte de place où l’abstraction fait fureur, atomisation qui devient dépression et qui est compensé par le divertissement. Il n’y a de bonne monnaie que pensée, joindre les 2 bouts, privée et public pour les fins du moi écartelé et éclaté.
Faire face à la télé et son dit public. Soral parle quelque part de cela où il dit qu’ils peuvent détruire par la rhétorique n’importe qui si il n’est pas armé de savoir. L’expression se faire mettre en boite prend tout son sens. Qui n’a pas souhaité être dans un débat alors que l’on est qu’un témoin impuissant, fabrique de la veulerie et de complexe devant l’image qui manitou.
Dieudo et Soral, la belle équipe, du sérieux, osmose du comique et du tragique, çà soulève gentiment mais fermement.Haut les cœurs.