"Soutien au bijoutier de Nice" : quelques vérités sur la popularité de la page Facebook
17 septembre 2013 23:50, par ErdovalDans cette affaire le plus lamentable c’est la récupération de l’évènement (le mouvement de soutien au bijoutier) par le maire de la ville et le président du CG. Toutefois cette récupération dégueulasse permet de bien comprendre ce qu’est le populisme : récupérer ou même susciter une émotion populaire dans son seul intérêt politique comme une arme de combat contre son adversaire et laisser penser qu’on est porté par un enthousiasme populaire. C’est du foutage de gueule sur toute la ligne de la part de ces élus qui ont toujours fait mine de tenir un langage de fermeté sur l’immigration et qui appartiennent à une famille politique qui a laissé se développer une immigration sauvage dont les conséquences sont insupportables tant pour les immigrés que pour les français. Les conséquences on les connaît : sans papiers veut donc dire marginalité, illégalité et même criminalité en tous genres car il faut bien vivre même de façon répréhensible, si on ne peut pas faire autrement. Augmentation de la population immigrée et non intégrée entraîne donc inévitablement une augmentation de la criminalité. Il s’ensuit un encombrement des tribunaux et des prisons. Donc une justice débordée dont les moyens ne suivent pas l’augmentation des besoins et une surpopulation carcérale, phénomène criminogène s’il en est. Donc, puisque ni la droite ni la gauche ne veulent remettre en cause le laxisme de la politique d’immigration et qu’on ne peut plus financer l’augmentation des places de prison on cherche un autre moyen moins coûteux : la probation avec port d’un bracelet. Ca y est : on aura bientôt recréé une population d’esclaves enchaînés sans droit, condamnés à survivre par leurs propres moyens et sans le droit de travailler. La solution passe évidemment par l’augmentation du travail au noir (sans jeu de mot malvenu). La population française est donc victime et de la criminalité, et du travail au noir qui pèse sur le chômage et sur les droits des salariés. Et comme d’habitude la classe politique fait mine de s’indigner à tour de rôle : à droite sur les victimes des criminels qu’elle fabrique et qu’elle impute au prétendu laxisme sécuritaire de gauche, à gauche sur le non respect des droits de l’homme des nouveaux esclaves qu’elle importe et auxquels elle refuse même une place en prison au titre d’un progressisme humanitaire. Du foutage de gueule populiste, de droite et de gauche. Et après cela ils voudraient encore qu’on continue à voter pour eux !