Les écrits recopiés par Ripoublique, en supposant qu’ils sont authentiques,sont très anciens et reflètent probablement ce qui existait avant les monothéismes. Avant — avant le Judaïsme—, il y avait carrément des cérémonies dans lesquelles des enfants, peut-être même des nouveaux-nés, étaient sacrifiés.
J’ai donc tendance à croire que ces passages si choquants rappellent ce qui se passait et ce contre quoi le Judaïsme s’est élevé.
Je vais peut-être continuer de choquer certains autres en rappelant à ce propos que Dieu s’est adressé à Abraham pour lui dire que, contrairement aux ordres précédents, il ne devait pas sacrifier son fils.
En quelque sorte, l’ancienne connerie était balayée par le Dieu d’Abraham. On peut donc imaginer, sans excès de philosémitisme, que ce que vous reprochez au Judaïsme est précisément ce contre quoi il fut le premier à s’élever.
Si j’osais, je rappellerais que le Christianisme parle de l’Agnus Dei et qu’il se pose en opposition avec les sacrifices récurrents. De là à souligner qu’on parle d’un certain Agni dans le Sacrifice Prajâpati, je ne le ferai pas n’ayant pas l’intention de jouer au René Guénon. http://www.anthropologieenligne.com...
Mais putain, avec ces histoires de sacrifices, même interdits, les religions me foutent vraiment la gerbe ! Vous pourriez pas faire dans le sobre et non dans le gore, prêtres de tous pays et de toutes religions !!!
Travailler, jouir des fruits de son travail, passer de bons moments avec sa femme/son harem de femmes majeures, hors Carlton (quand même, si on est un mâle alpha, c’est son destin), boire le vin de sa vigne, manger le pain fait avec le blé de son champ.
Ma prière du jour : " A nos femmes, à nos chevaux et à ceux qui les montent" Avec ça, il devrait être inutile d’ajouter que les enfants doivent garder l’innocence de leur âge !
Le reste, je me demande si ce n’est pas pour asservir les êtres humains avec des idées fumeuses de sacrifices même évités.
Libérez-vous, soyez confiants et craignez Dieu quand vous êtes tentés de faire du mal.