Grâce au lien fourni par Fabrice, on voit que ces textes se trouvent bien dans le Talmud.
En effet, le rabbin Jacques Kohn ne dit pas que ces textes ne figurent pas dans le Talmud. Il donne l’explication absolument incompréhensible de Rachi, qui est si tirée par les cheveux qu’on se demande s’il a lu le texte ou s’il est sain d’esprit.
2. « Il est autorisé à avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour » (Sanhédrin 55b) :
Commentaire de Rachi : « A partir de l’âge de trois ans les signes de virginité ne réapparaissent plus », ce qui veut dire que si rapports sexuels il y a eu à partir de cet âge, il y a présomption de défloration. Mais cela ne constitue en aucune manière une autorisation d’avoir de tels rapports.
Ces textes horribles se trouvent donc bien dans le Talmud. Rationnellement, le simple fait de traiter de ces questions, même d’un point de vue innocent, au cas où ce serait possible, démontre toute l’horreur du talmudisme. En effet, au-delà de leur signification réelle, pourquoi traiter des questions si scabreuses et en dehors des préoccupations de la vie ordinaire, que toute personne sensée ne les imaginerait même pas ?
Il est bien plus facile de donner à ces textes des explications coupables qu’innocentes, comme le fait Rachi, dont l’explication est en dehors de leur signification vraisemblable.
La question qui s’impose est : Pourquoi un code soi-disant religieux, le Talmud, traite-t-il de questions aussi scabreuses, dont l’explication vraisemblable est diabolique, et l’explication forgée après coup pour le Goy ou le Juif est une tromperie ?