Vraiment un grand MERCI à E&R Nice pour cette conférence !
Jusqu’a présent il était difficile de parler de la question de l’immigration massive sans être renvoyer directement à " c’est la faute des sionistes, c’est eux qu’ils faut dénoncer etc... " impossible là aussi de sortir de l’impasse, casser du sioniste, y a que ça de vrai.
Pourtant le projet est très clair, avant de critiquer Laurent Ozon avez vous lu La controverse de Sion ? si oui savez vous lire ? êtes vous certains que l’édition n’a pas été retoucher pas bhl ?
Laurent Ozon ne lutte pas pour défendre des droits, des lois, un régime particulier, une religion, des chartes ou n’importe quels bout de papier réversible ou remplaçable, mais pour la sauvegarde d’un Peuple !
Ex :
L.Ozon ne se bat pas pour défendre un système creé par son Peuple.
L.Ozon se bat pour défendre un Peuple qui a creé se système.
Peuple(s) ( substance ) qui existe Historiquement et que l’Empire a bel et bien identifié !
Quand on veut se débarrasser d’un arbre on détruit sa souche ( Peuple(s), substance ) et pas uniquement ses fruits ( lois, régimes ).
Cette substance n’existe pas ?
Retour a la photo de l’article, qui est le Maghrébin et qui est l’Européen ?
Vous avez 2 heures...
Autre remarque importante de L.Ozon ;
" Notre incapacité récente a nous percevoir nous même comme un Peuple doué d’une forme, d’une civilisation et d’un genie particulier ", c’est très vrai, et cela nous en sommes responsable.
La réconciliation doit se faire avant tout avec notre identité, nos terres, notre Histoire et nos fabuleuses mythologies, nous en sommes les seuls héritiers, personne ne peut nous remplacer !
Si vous ne vous respectez pas vous ne serez pas respecté, comment avoir la verve de A.Soral ou la ténacité d’un V.Reynouard sans fierté ?
Nous autres indigènes, si notre avenir est de baisser la tête, alors oui nous sommes dans une impasse.
Merci aux modérateurs et merci a E&R
Un Merci particulier et un grand respect a Albert Ali qui fait honneur aux siens en se préoccupant de l’avenir de mon Peuple au lieu de s’occuper des déboires de Nabilla.